Les pavés ne faisaient pas encore la renommée de la course, bien au contraire. Vu comme un inconvénient et critiqué pour ralentir les coureurs, ces secteurs disparaissaient petit à petit et laissaient place au béton.
Dans les années 1960, alors que la course ne comportait plus qu’une vingtaine de kilomètres de pavés, une nouvelle politique émergea, visant à faire de ce revêtement caractéristique le charme de cette course. De nouveaux secteurs pavés furent ainsi dénichés par les organisateurs de la course dont la mythique trouée d’Arenberg, ajoutée au parcours de la reine des classiques en 1968. De nos jours, se sont un peu plus de 54km de secteurs pavés qui jalonnent cette course cycliste légendaire.